Carinou's chiaroscuro !

Monday, October 31, 2005

Surprise del mese !! (Woh, what a mess !!) :p



A prononcer "seurpraïze" bien sûr !! ;) Ouais moi aussi j'ai fini ma liste d'adjectifs+prep adéquate... Ca laisse des trâces, manh !

Et oui, qui c'est ces deux folles là ? Ou devrais-je dire "ces super stars" ? =) Hohé, vous devriez déjà être au courant !! :p Depuis le temps que le bruit court (que je propage) sur msn et que je fait tourner l'info dans les oreilles attentives des compagnons de la fac...

Vous n'étiez pas au courant des prouesses de Dionysette et Dionysoux, voyez-vous même (la photo parle d'elle-même, non ?) Ouais, même que maintenant, moi-Dionysoux-la sioux mexicaine, je suis connue de tous au resto-u. Mieux que Gavroche. On me demande toujours où est passé mon chapeau mexicain (quand on fait pas des blagues sur ma moustache...) et en plus on m'a quasi interdit de l'enlever lors du pari (le personnel du Ru) car ça mettait "de la gaieté". Loool. quant à Charlène, en brave Gandalfette-elfique, elle fait forte impression aussi. :)

Bon Dionysette, à quand le prochain pari ? Parce que là, depuis la semaine dernière ça va on est rodées !! :)
A demain chez Cathy, partenaire de déliriums insensés mais sensationnels !! =) Oui oui, d'autres photos seront diffusées ! ;)

Ciaooooooo !!

Ps : ce serait cool, si à votre tour, vous vous déguisiez pour halloweeeeeeeeeen !! C'est vrai quoi, lol, à nous de rigoler un peu ! ;)

Thursday, October 27, 2005

Crazy... Flo !! :p




Vous connaissiez tous Crazy Frog, hé bien voilà Crazy Flo qui se matérialisent sous vos yeux étonnés. ;) (pas encore trop peinturlurée ; et le L, est pour "Flo", pas pour "loser" !)
Bon anniv' Flo !! 20 ans, ça se fête qu'une fois. Enfin on l'a bien fêté cet anni, hein ? :) de 19h30 à 6h30 du mat' sans interruption, moi j'appelle ça une chouille plus que sympa et plus que spéciale !!
Bravo à la vedette qui a fait preuve de sang froid, de franche rigolade et de patience (on l'a quand même bien gribouillée !!) =) On dirait que la petite biquette a acquis un nouveau surnom...
Allez c'est de bonne guerre la voisette ! Même si j'angoissais un peu devant les têtes inconnues : je me suis trop bien amusée à côté du délirant Patrick, jamais patrac' pour boire du vin (il voulait pas croire que "rouge sur blanc, tout fout le camp", rhalàlà !!) et en face de Nico qui est super sympa, lol. Nul besoin de signaler qu'on se marre aussi avec les chmabériennes, ça va de soi ! En tous cas, j'oublierai jamais ta soeur dansant sur le WMCA !!! MDR ! =)) Bisoussssssss tite Flo, pas encore tout à fait "grande" (cricheuse, lol)

Ciao tutti !!
& Vive le Polski.

Monday, October 24, 2005

Ze post du mois

Résumé des épisodes précédents :
- Samedi 22 Octobre :

Oui et c'est sans ironie que je l'annonce, ce post vous l'attendiez tous, n'est-ce pas ? Ben le voilà face à vos yeux prêts à dévorer ces quelques lignes, alors bon appétit !

En fait je ne peux pas faire très court, mais je ne peux pas faire très long non plus (pour ceux qui l'auraient pas découvert, j'arrive parfois à faire une chose et son contraire) car je suis attendue par une trentaine de personnes (ou plus ? :§) que je ne connais pas. Pourquoi ? Ben en fait moi je suis juste une "guest star", rien d'autre puisqu'on n'a pas vingt ans tous les jours : je viens à Malzévillebeach (qu'est-ce que je la connais cette bourgade lol) fêter l'anniversaire d'une copine que je n'ai pas revue depuis le lycée. Bref je stresse un peu quand même là, même si je suis presque sur mon trente et un : pas trop bien dressed up non plus vu que c'est pas moi qui ai vingt and today. Mais assez quand même pour interpeler quelques Italiens. Si si même si ça fait cliché, j'adore m'habiller en rouge et noir quand j'ai l'esprit en fête !! (en plus ça me rappelle trop la chanson, mdrrr) La première fois où j'ai fait ça, c'était en Corse et devinez par qui je me suis faite abordée ? Oui, une famille de ritals au complet (la mama, le babo, les bambini, la tante et l'oncle !) qui m'ont demandé si j'étais Italienne. :p Bref là quand je préfère me rassurer je mets mon pantalon pattes d'ef noir et mon corsage rouge pétant, ça me donne un air relativement moins timide. C'est psychologique et esthétique donc c'est parfait : parée de mon habit mi cowgirl-mi smart, je me sens à l'aise voire carrément quelqu'un d'autre. Je ne suis plus Pichoune (ou Pichou selon l'interlocuteur) mais Diab', qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et sait se faire entendre. Disons aussi que ça fait plus aware et moins loony. =) Je t'assure Loïc, c'est fou ce que de simples vêtements font comme miracles ! :p

Bref passons outre ces disgressions vestimentaires et venons-en au principal (Loïc le comprendra facilement : depuis que j'ai lu, heu plus ou moins, le Seigneur des Anneaux, je me prends pour Gollum ; je me dédouble) : je suis invitée à une fête et je dois monter sur une estrade faire une petite éloge de Flo-fan de Brian Joubert-fofolle girl-toujours en train de se piquer un fou rire, alias une bonne copine de collège, que je n'ai pas revue depuis disons pas loin de deux ans. Bref je suis déjà pas "miss la tchatche" et parler en public devant des inconnus, ça pourrait bien me faire rire ou alors me faire bégayer, c'est selon. J'ai ni la classe de Marie-Sophie, ni la décontraction de mon grand cousin Thibaut. Bref... Ca va être du joli. Surtout que mon esprit est toujours aussi dérangé et en ce moment j'ai pas l'âme studieuse mais assaillie par des fantasmes et des paris idiots, voire des questions idiotes limite existencielles ! :§ ;) :)
La tâche va s'avérer dure, même si aujourd'hui je ne suis pas Pichou mais Diab, qui au besoin enfonce des portes qui sont déjà ouvertes.

Pourquoi j'ai l'âme aux délires et aux paris, ben ça c'est à cause de mon surplus non canalisé d'énergie. La fanta citron attitude, dirait l'un ; le dramatique effet du coca déguisé en bière 1664 dirait le deuxième. Le premier c'est Nico à qui j'ai sippé pas mal de son fanta et même failli lui piquer son bounty les doits dans le nez à la cafet', et le second, n'est autre que Loïc qui en brave D'Artagnan a essayé héroïquement de ne pas céder devant la vue alléchante de mon coca tout frais (en me demandant par conséquent un petit effort auquel j'ai bravement aussi, faut le dire, consenti : à savoir cacher le dit objet des désirs de Loïc sous les mouchoirs de Caroline) et donc de passer pour une timbrée (ce qui n'est pas forcément faux, enfin Loulou dirait cynglée avec un "y" ;) ) aux yeux de Charlotte, qui arborait un air vaguement choqué : mdr. Bref ce sont les circonstances, dirons-nous, le Halloween effect maybe, où je sais pas moi, le fait que (et c'est très nouveau pour moi) je ne déteste plus les mois de Septembre et d'Octobre. Du coup je m'amuse beaucoup plus (les nuages n'alourdissant pas mon humeur), en fait je délire à plein tubes et c'est marrant ; comme poser ma gomme sur la tête de Roxanne en grammaire, ce qui entraîne des jets de gomme entre Roxanne, Nat et moi sous le regard goguenard de Nico. Ou encore tirer (comme avec des billes) dans le sachet de mon Monbois 3 et l'envoyer alternativement sur Chloé et Jeoffrey, qui sont trop joueurs pour ne pas s'y mettre à leur tour.

C'est sûrement aussi le fait de parler à une Nina à la fois soucieuse et déjantée sur msn, ce qui n'est pas si contradictoire quand on la connait ou encore et surtout de parler avec une Charlène contente de voir que notre tandem délirant peut très bien être aussi capable de tenir trois heures d'affilée en gardant le silence dans la grande Bm nancéenne où on pourrait entendre des mouches voler. Du coup tout le monde est plus ou moins joyeux. Du coup on se remérore certains paris (quand les révisions ne sont pas encore au programme faut bien s'occuper autrement).

Faut bien préciser que certains de ces paris étaient plus ou moins partis d'une simple pensée... Pour finalement arriver à des trucs que vous vous amuseriez pas à faire tout seul. Dans le genre, convaincre les gardiens de la pépinière de faire comme si ils sortaient avec nous ou encore slalomer entre les troupeaux de gens lors de la fête de la musique, en se tenant par les épaules et en effectuant de grands pas chassés. Ou encore démolir une belle chanson comme Do you read me ou Wonderwall et une moins belle (mais là sans le faire exprès vu que ma compère avait une quasi extinction de voix aux Pays-Bas) mais tout aussi riche de sens, Immortelle. Y a aussi les paris au sujet desquels on n'en revient pas parce qu'ils se révèlent beaucoup plus faciles que prévus, comme danser un tango avec quelqu'un qui n'est pas réputé pour aimer danser du tout (une rose entre les dents comme Zorro, je précise). Oui oui y a aussi le soir où on a trottiné à cloche pieds dans la rue Saint Jean, ça c'était légèrement crevant. Et les fois où dès qu'on fait du vélo près de la Meurthe par je ne sais quel heureux hasard on ne tombe pas dans la dite rivière, étant donné qu'on arrive à conduire en binôme (Charlène à ma droite me tient l'épaule droite et moi son épaule gauche, vous suivez ?) Enfin bref, cet automne, sous l'influence d'Halloween, on va tenter bien plus fort.
Ce paris là je ne peux plus y échapper sinon elle va se tapper la honte de sa vie, d'ailleurs on va se tapper la honte mais toutes les deux, c'est préférable, lol. Jeudi on a prévu de venir semi-déguisées à la fac. Je ne vous dis pas comment sinon ce serait pas drôle mais pour ce coup là, je flippe. Sachez juste qu'on sera pas habillées normalement mais qu'on sera pas totalement méconnaissables ni totallement déguisées (j'entends : pas en costume lapin une pièce, ni avec des masques, des plumes partout, etc) non plus.
Ce qui ne va pas empêcher une chose : ce sera folkolrique parce qu'on aime bien le folk et que là on a décidé de changer l'envergure de ce paris, accessoirement de vous faire rire et qu'on se souvienne bien de ce paris là. ;) Si ça ça ne soude pas définitivement une amitié vieille de 6 ans... Lol. Voilà voilà... Ca vous intrigue, je sais.
En fait j'ai l'impression que c'est Loulou qui a déteind sur Charlène et moi. Ouais... Carrément peut-être. Loulou au lycée, elle faisait super fort. Genre venir en cours avec une tétine à la bouche, oser arrivée parée d'un fort beau pantalon rayé de toutes les couleurs. Original, yep, definitely. Une autre fois Loulou est aussi venue avec des lunettes de Soleil encore plus made à la John Lennon que Nico : performance inégalée. :p Quand elle veut surprendre elle y arrive toujours, lol. Je crois que la palme de la bravoure lui revient, car même si le ridicule ne tue pas, vous visualisez tous les autocollants pour les préservatifs ? Ben elle s'en était collé un bien explicite sur le front (moi et une autre copine aussi mais c'était pas le même fameux autocollant) !
Tout ça pour dire que ce qu'on va faire, ça sera presque à la hauteur de ses capacités à surprendre...

Résumé de l'épisode 2 :
- Lundi 24 Octobre, 9h23 (je suis à la fac, je viens de fermer les volets puisqu'un Erasmus sympathique vient de m'en faire l'humble demande)

La fac n'a pas coulé, la fac n'est pas sous l'eau, je n'ai pas coulé. Oui, pour ceux qui s'étonnent de cette transition, allez vous imprégnez du post "Rêves de ouf", vous comprendrez. Ou pas. Je viens de faire un énorme-big-gigantesque, rêve de ouf... Ouais encore. Sauf que cette fois j'ai rêvé que la fac de Lettres se trouvait en Floride et que tous les étudiants avaient des grosses totos américaines et que suite à une crue monumentale de je ne sais quelle mer, fleuve ou océan, la fac s'est retrouvée innondée des pieds à la tête. Heureusement Georges B(retzel). avait bien fait son boulot de prévention avant : on a été bien informés qu'une catastrophe se produirait et on a tous levé le camp dans les temps. Bizarre, hein ? Non, en fait. Non parce que le soir j'avais une trouille bleue de commencer mes heures de Fle (imaginez juste un court instant que j'en ai pas loin de six, de deuxième et de troisième années, qui par conséquent se chevauchent et qui se passent en même temps que certaines de mes options...) Voilà, vous y êtes : où il a trop plu cette nuit, assez pour que mon surmoi prenne note, ou alors j'ai vraiment eu peur d'être "coulée" au sens figuré. Bref là je suis rassurée : c'est fou comme un classeur de cours bien rangé peut aider à se rassurer...

Je sais que vous vous inquiétez de ma santé post week-end endiablé : elle est intacte. Une bonne nuit de dimanche à today de pas loin de 10h et ça va à peu près. Mes batteries, contrairement à celles de mon portable, sont plus ou moins rechargées. Un seul détail m'inquiète : mon état dans approximativement 10 heures. A 19h, vous croyez que je tiendrai sur mes quilles après n'avoir avalé pour simple déjuner qu'un panini ? Heu... Enfin au moins j'aurais "mangé" (parce qu'il y en a qui ne mangent pas à midi : pas biiiiiien !!)
Autre chose : demain ma mère et mon frère partent dans le Sud chez mes grands-parents. A la zonmai, y aura plus que moi et mon père, vous suivez ? Houlàlà, sans mon frère ça va être dur, quatre jour sans lui, vous visualisez ? Moi non. Mon frère c'est le premier à comprendre mes délires, et à en rajouter des tonnes, histoire que je tienne mon ventre convulsionné par nos fou-rires successifs. Qui va m'interroger en Italien ? Pas mon père, lui il va me parler politique tout le temps et je ne pourrai pas embrayer "sport" si mon frère est pas présent. C'est pas très adulte. Lol. En gros ça veut dire, cocotte, tu vas bosser double, si si.
Bref lol, ça risque d'être impressionnant, je vais arriver sur les genoux jeudi. C'est pas un de mes souhaits premiers.

Ni un de mes fantasmes d'ailleurs. Je vais faire peur aux êtres bruns aux yeux bleus. Fâcheux fâcheux... Etres aux yeux bleus tout court en fait, avec ou sans cheveux ;)
Je vais devoir tapper ma balle de tennis 4 fois par terre au lieu de 3 pour marquer un service... Glop, pas glop.
Je vais devoir utiliser encore plus ma tasse fétiche du matin, une tasse du Quick Friends toute orange dehors et blanche dedans.
Je vais devoir encore plus parler en langue de Gollum.
Ca va faire rigoler deux fois plus Jeoffrey, et faire dire à la Chloette que je suis deux fois plus folle ou encore s'étonner deux fois plus Loïc face à mon état proce de l'Ohio...! ;)
Je vais encore penser que Jeremy Tranmer est un elfe qui n'a pas de grandes noreilles. (Ne me demandez pas pourquoi, non lo so)
Je vais encore plus sourire en voyant Nico regarder les moindres faits et gestes des Mich'. Ca non plus, je vois pas pourquoi. Looool.
Roxanne va encore souffrir de mes facétieux gribouillages made in Kleenex.
Je vais encore visualiser le prof de tennis m'encourager et me dire tout bonnement quelle technique utiliser face à mon adversaire du jour, si je réalise son coup favori : le coup droit court croisé accéléré.
Je vais avoir l'impression que le chat me parle (la maman du tout petit de 10 cm pour êtres exacte)
Je vais encore rêver d'un plat énorme de spaghetti bolognese... =)


Et si je continue à vous parler dans la longueur, je vais râter le cours de rital : ça non jamais !! Même si c'est encore pire que l'année dernière, dès qu'on lit un texte, on fait toutes les questions de la "domanda"...

Sunday, October 23, 2005

quelle journée !



Et là comme y en a qui se demandent à quoi ça sert qu'on les aguiche (non en fait c'est pas le bon terme, mais passons) pour ensuite les faire poireauter, je réponds que j'ai passé une journée d'enfer géniale, commencée hier à 9 heures du matin, qui devrait se terminer aujourd'hui à environ 21h si le marchand de sable passe à l'heure (et qu'il n'y pas trop de monde dans le train, non pas la peine de demander si notre brave marchand circule en "période bleue" ;) !) et entrecoupée par quatre petites heures de sieste. La cause : cf le prochain mail, relatant l'esprit de toute une semaine bien remplie, c'est à dire une fête qui a duré duré et qui s'est superbement bien déroulée...

Cthioooo les zamis, je suis vannéééééééée.

Ps : à part ça demain, outre le fait que je serai un zombie de première classe, j'ai 8 heures de cours (et au moins trois chevauchements... lol jaune ou pas) voire plus et à vous relater ma journée. A l'aide !!!!! Mdr ! :p

Saturday, October 22, 2005

Voir Bretagne et mourir ;-)

Ou comment mettre un post déjà tout prêt avant de s'essayer à un plus osé ? :p ;) Riez, riez braves gens, mais la terre des songes et des légendes ne laisse personne indifférent (oui j'ai des racines bretonnes aussi, quelque part à l'Ouest !) :p et que contrairement à tous les "on dit", il ne pleut pas tant que ça là bas... (Au moins le taux de flotte en petite Bretagne est vraiment inférieur à celui de sa cousine !)



"On dit que le golfe du Morbihan serait né des larmes abondantes que les fées auraient versées lorsqu'elles furent contraintes de quitter l'Armorique. Sur cette mer nouvelle, elles jetèrent ensuite leurs couronnes de fleurs, qui se changèrent en îles. La plus belle dériva vers le large : c'est Belle-Île. La Bretagne est belle. Si belle qu'elle a été créée par des fées. Et qu'elle est terre de légendes.

Un pays de pierres vivantes
Menhirs et dolmens se dressent sur le sol breton. Une tradition ancienne assure que les mégalithes poussaient autrefois comme des plantes dans les champs jusqu'au jour où les prières avaient arrêté net leur croissance. Ces pierres magiques font partie intégrante des récits et des chansons de geste celtes, comme la grande pierre que l'on peut voir au cœur de la forêt de Brocéliande et dans laquelle Merlin l'enchanteur est endormi depuis mille ans. Au fond de la fontaine de Margatte se trouverait une pierre blanche, la pierre du déluge, qui déclenchera l'inondation du pays entier si on la sort de l'eau. Quant à la pierre de la fin du monde, elle se trouve à Dol-de-Bretagne : il s'agit du menhir de granit rose du Champ-Dolent, qui disparaît progressivement dans la terre. Cinq mètres seraient déjà enfoncés sous terre et la tradition assure que la fin du monde interviendra lorsque la pierre sera totalement ensevelie.

Un pays de trésors cachés

Les huit menhirs de Plouhinec vont boire l'eau de la rivière d'Etel une fois tous les cent ans, la première nuit de l'année. On peut alors, dit la tradition, s'emparer des trésors cachés sous leurs pieds le reste du temps. Mais il faut faire vite pour ne pas être broyé par les pierres à leur retour ! Nombreuses sont les légendes d'or et de pierreries dissimulées par les menhirs. Ceux de Kergonnec dans les Côtes-d'Armor en cacheraient aussi sous leurs socle de pierre. Le trésor est parfois plus immatériel. À Plouer-sur-Rance ou à Bréhat, c'est le mariage que peut prédire la pierre. À Pleumeur-Bodou, c'est la guérison que procurent les fragments de roche broyés dans un verre d'eau.

Un pays propice aux rencontres magiques
Malheur à celui qui rencontre une biche blanche dans les forêts bretonnes : il est condamné à mourir le jour de ses noces. Les korrigans sont aussi des lutins familiers des forêts et des grèves. Ils jouent de mauvais tours, mais savent aussi offrir une poignée d'or à celui qui les rencontre. Du moins à l'innocent, car le cupide qui les cherche avec un sac ou un coffre repart les mains vides et copieusement battu ! C'est aussi en Bretagne qu'on peut rencontrer les fameuses lavandières de la nuit, celles qui viennent au lavoir laver les suaires ou les âmes des damnés entre le coucher et le lever du Soleil. Elles interpellent les passants attardés et les supplient de les aider à essorer les linceuls. Malheur à celui qui tord le linge dans le mauvais sens : c'est alors son propre linceul qu'il vient de laver, pour une mort dans l'instant.

Un pays où la mort est familière
En Bretagne, le souci de la mort ne laisse jamais l'homme au repos. L'usage armoricain des ossuaires, abritant les ossements retirés du cimetière, avait un double but : conserver les restes les plus anciens mais aussi donner aux vivants une plus grande familiarité avec la mort. Autrefois, la porte du monument était toujours ouverte. Toute une littérature en est née, depuis la triste et douloureuse Complainte de l'ossuaire jusqu'à des cantiques ou des récits de veillées. Dans les légendes, le trépas n'est pas une fin mais la rencontre avec ce personnage nocturne surnaturel, ce passeur pour l'autre monde, connu sous le nom d'Ankou. Un mot qui, dans la langue bretonne, est proche d'anken (le chagrin) et d'ankoun (l'oubli).

Un pays où la mer efface le mal
Les légendes laissent moins de place à la mer qu'on ne s'y attendrait. C'est la terre, la forêt, la pierre qui ont laissé leur empreinte dans les contes celtes. Mais on trouve cependant la légende de la mer de Murin, cette grande plaine envahie par les eaux dans la vallée de la Vilaine, qui résulterait de la colère d'un moine face aux menaces guerrières de païens. Plus connue encore, la belle histoire de la ville d'Ys, noyée sous les eaux d'une gigantesque marée pour expier les péchés de ses habitants. On dit que la ville a bel et bien existé dans la baie de Douarnenez et que, lors des basses eaux, des pêcheurs aperçoivent des restes de murailles… Qui veut aller voir ?"


Heureusement que je veille à entretenir votre culture française, hein ? Mais attendez, je vais aussi veiller à éveiller votre curiosité... Oui, le prochain post est celui qui pourrait vous surprendre le plus :)

Ps : Loïc, je me suis permise de mettre ton image puisque blogger refuse obstinément la mienne : mea maxima culpa ! Scusa.


Bisouzatousetàtoutes.

Thursday, October 20, 2005

Rêves de "ouf" !!



Vous en avez jamais fait ?
De rêves de "ouf" ?

Vous savez, genre, un rêve dans lequel il se passe des trucs de cinglés ? Ouais c'est pas très explicite mais en fait dîtes-vous que les rêves dont je vous parle, je ne rêve pas d'en faire des de la sorte en fait. Déjà parce que ces rêves là sont pas très reposants, genre ils te secouent bien le ciboulot déjà quand tu dors et te poursuivent le lendemain...

Je prends un exemple : ces rêves-là sont des condensés de tout ce qui vous tracasse, tout ce qui vous enchante ; ajoutez-y vos fantasmes et quelques-unes de vos pires craintes, un décors ordinaire, un souvenir très précis et vous voilà au pays de l'angoisse. Vous visualisez ? Voilà vous y êtes. C'est ce que j'appèle un rêve "de ouf". En ce moment je ne fais que ça et je sais pourquoi en plus.

Le truc c'est qu'au réveil tu ne sais plus où tu es, ni ce que tu dois faire, si c'est le week-end ou mardi, à quels cours tu vas assister... Y a deux jours j'ai fait un rêve de "ouf" de chez de "ouf"... Sans rentrer dans les détails voilà la scène : une grande table en bois (resto-U ou restaurant ? :-§), vos amies du lycée, deux garçons inconnus avec lesquels vous sortez, vous ne savez pas pourquoi, c'est très flippant, surtout quand l'un doit finalement être éliminé (genre, un remake de la star ac' où le seul votant c'est moi, heurk heurk heurk !), votre meilleure amie replongée dans son pire calvaire, une autre qui est aussi dans la merdouille... Et finissez par une touche ironique : moi m'engueulant avec mon ex (qui est proxénète ?) qui tente de forcer la dite amie à se prostituer, moi essayant de venir à la rescousse de l'amie...

Quand vous vous réveillez, tout est fini, ouf !! Dans les rêves de "ouf", quand c'est enfin l'heure du réveil, même si on est sonné, sous le choc de tout ce qui vient de se passer, on peut pousser un grand "ouf" de soulagement. Ce n'était qu'un rêve, la réalité est toute autre...

Bref juste pour dire que moi et les rêves de "ouf" on se connait bien depuis le lycée. Demandez à ma meilleure amie ou à Nico, ils vous diront que j'exagère pas en disant que ce qui m'arrive dans mes rêves de "ouf" est vraiment "incroyabeul" quand ce n'est pas fandard !!

Oh ne vous plaignez pas, vous auriez pu vous retrouver avec moi dans un bateau qui sombre (ce qui n'inquiète nullement le commandant de bord qui ne sent pas l'eau), à lutter contre un dragon avec pour seules armes un arc et des flèches, à voler au dessus de fils électriques en faisant d'incroyables figures acrobatiques entre... Ou bien vous faire poursuivre par des vampires qui ne craignent pas l'argent... Ou vous retrouver à faire le voleur professionnel de Milan, en haut d'un gigantesque manège en bois (intermédiaire entre un musée suspendu en l'air à 30 mètres du sol et un vulgaire parquet de forme inédite ronde et gondolée...) pour le compte d'un antiquaire détective privé... Heu, en gros, vous en auriez pour votre lot de sensations fortes !! Bof vous inquiétez pas, vous êtes pas rentrés pour la plupart dans ma catégorie "rêves de ouf" ;) Mais qui sait ce que mon imagination doublée de mon surmoi en activité nuitale inventera... Lol.

Sunday, October 16, 2005

Dionysoux's song

Helloooow, aujourd'hui c'est la sainte Edwige, vous saviez ?
Well, you'd better !! J'écoute Mistigri Torture de Mickey 3D, y a pas à dire même si je suis pour Lyon, ce groupe là à du talent...

Y a Dyonisos aussi qu'a fait une chanson superbe qui botte le cul (pardon d'être vulgaire) des politiques et surtout du plus grand maître chanteur de la planète, made in US.

Juste envie de placer la belle phrase de moi : "à quoi me servent mes ailes si on me coupe des îles ?" loool (désolée : délire entre moi et moi :p) !! Ben quoi, c'est ma liberté de penser !!

Message à Dionysette : il vient mon gage alors ? Non parce que j'ai retrouvé de nouveaux paris, pas mal en fait... ;) Bisous !!
Dionysoux !

"Bloody Betty Boop est de retour pour les funérailles de Mister Président Bloody Betty bloody Betty
Dans ma poche, il y a Betty Boop Bloody Betty
Elle s’est échappée de ses comic books Bloody Betty
Elle est de celle qui étincelle
Pour mieux se transformer
En armée de bretzels et aller se planter

Bloody Betty Boop est de retour pour les funérailles de Mister Président Bloody Betty bloody Betty

Dans la gorge de « w » Bloody Betty
Tu te plantes comme on chante une mélodie
Happy death day to you
Mister President Crève-moi les trois d'un coup,
Ben-Saddam-Laden-Bush

Sauve-nous petite allumette frotte-toi contre le ciel
Éclaire-nous où nous sommes saddamisés Bush à Bush

Bloody Betty Boop oh oh

Allez debout, on les veut les rêves, en étincelle de bout en bout
Sauve-nous petit bout de flamme espoir femme je vote pour toi pour toujours
Oussama où sommes nous saddamisés bouche à Bush"
(Dionysos, Bloody Betty)

Wednesday, October 12, 2005

`Juste un jour parfait'

Ouais... Y a des jours comme ça où on se demande ce qu'on fout (désolée c'est vraiment ça) En gros où qu'on soit, où qu'on aille, on se sent à la fois perdu(e) et en même temps pas bien loin de la solution.

Y a des jours comme ça où j'entre dans le campus et je me demande pourquoi je vais assister à un cours en Anglais (en ce moment j'ai du mal à retrouver du charme à l'Anglais), y a des jours où je pense que ça m'avancerait plus d'aller bachoter mon bouquin théorique pour le permis... De changer d'auto-école, d'essayer plusieurs trucs à la fois, pourquoi pas de me replonger dans de la biologie...

Y a des jours comme ça où on sait pas pourquoi, on regarde le Soleil par la magnifique fenêtre qui donne sur la pelouse de la fac depuis de bâtiment A en se disant qu'on a de la chance d'être là. Y a des jours comme ça où on se demande vraiment ce qu'on fout là...

Y a des jours où on sent qu'il manque vraiment qu'un chouille d'euphorie pour être au mieux. L'ennui c'est quand on sait ; qu'on vient de se rendre compte que ce "chouille" est pas loin d'être inaccessible. Y a des jours où juste cette vision de quasi perfection à laquelle il manque une petite étincelle vient bouleverser votre quiétude. Y a des jours comme ça où on se dit que oui, la vie est faite de riens du tout qui font tout quand soudain ils t'échappent... Ironic, disait miss Alanis... Un jour parfait a dit Calo... Bref y a des jours où faut pas chercher à se torturer les méninges parce que de toutes façons on n'apprendra rien de plus que ce qu'on sait déjà et qu'il y a des jours où il vaut mieux profiter de chaque instant.

Y a des jours comme ça : des jours avec deux facettes... Une face qui en cache une autre et qui tombe jamais pile poil au bon moment... Two sides of a coin...

Y a des jours où on trouve pathétique un peu tout pour presque pas grand chose. Quelques détails balancés au hasard comme ça, comme le fait qu'un blog c'est sympa, tu peux y écrire n'importe quoi mais qu'il est impossible d'y écrire tout...

Y a des jours comme ça où on a envie d'effacer un détail, un détail passé qui changerait plus ou moins tout. On deviendrait une autre personne avec une autre vie, une autre mentalité... Y a des jours où on écoute Pink Martini, ça remonte, ça recadre les idées qui fouttaient le camps... Ailleurs, comme ça. Et là on se dit qu'on est vraiment pas mal loti(e). Mais là on repense à ce qui nous échappe et qui nous revient toujours en fait sans qu'on puisse vraiment l'attraper. Comme dit Zazie, Ca fait mal et ça fait rien. Mais y a des jours où la lucidité t'empêche de déprimer et te fait plus ou moins vraiment relativiser... N'empêche que quelque part tu ne peux pas être entièrement optimiste parce que tu sais que quelque chose cloche, y a quelque chose qui bloque. C'est ça la liberté...

Y a des jours comme ça où je me dis que je suis forte aujourd'hui, assez pour t'avoir effacé. Y a des jours où je suis fière de pouvoir chanter cette chanson sans ressentir aucune émotion négative qui trahirait un reste d'attachement quelconque... Comme quoi ces jours sont bénéfiques. Y a des jours où les fantômes disparaissent et les démons avec... laissant place à un ange que tu ne pourras jamais vraiment saisir. Les jours où l'inaccessible te paraît ironiquement accessible, tu doutes un peu... Hébété(e) de voir une pensée longtemps rangée au fond du dernier tiroir de gauche de ta petite tête, revenir te hanter les neurones occasionnellement.

Y a des jours où il vaut mieux écarter la vérité, la remballer précautionneusement au fond d'un grand tiroir... Parce qu'elle est tellement belle cette vérité, tellement incroyable, qu'elle fait d'autant plus peur et t'embrouille l'esprit. Parce qu'il y a des jours où tu finis par comprendre ce que tu savais déjà enfant et qui remonte à la surface. Cette vérité là n'est pas bonne à saisir ni à dire, car elle surpasse les autres et qu'elle fait mal tant sa valeur est hors de portée...

Y a des jours en plus où tu te dis qu'il faudrait que tu refasses une licence d'Italien après celle d'Anglais parce que le Rosbif sans Pasta ça perd énormément de goût... Y a des jours où parler rital ça te vient comme ça (quelques-unes pourront en témoigner je parle Italien, l’Anglais ça me lasse plus vite), où tu hallucines quand tu retrouves ton Allemand, comme ça, inconsciemment ! Alors que franchement celui-là tu ne lui avais pas rendu visite depuis un bail... Comme si tout décantait comme par miracle (ou par disposition spéciale des astres, je sais pas moi ; c'est peut-être l'éclipse qu'on a même pas aperçue en France) ces jours-là. Bref y a des jours où intuitivement tu sais que là tu bois du thé, d'accord c'est pas mauvais mais c'est pas le must, pas le meglio pour toi...

Bref y a des jours où t'es contente de te lever parce que tu apprends d'un coup plein de choses, tout paraît évident... Mais du coup t'as envie de te remettre au lit, parce qu'après tout semble moins évident. Bienheureux les simples d'esprit... certes. Même si je ne suis pas assez lettrée pour ne plus avoir envie de rien apprendre, parfois la connaissance c'est déroutant. Surtout quand pour une fois, comme ça, sans qu'on aie rien demander, en un éclair, tout devient clair...

Y a des jours où on se comprend et la connaissance de soi parfois c'est un moindre mal qui sur le coup fait du bien... Mais c'est à double tranchant. Parce que cette science là elle reste jamais bien longtemps au fond d'un tiroir... Et elle te sert pas beaucoup pour résoudre l'équation de ta vie... C'est peut-être un outil mais parfois on se demande comment l'utiliser.
Bref y a des jours comme ça... Faut laisser couler. Après tout c'est juste un jour parfait, ni bon, ni mauvais... Tout est plus où moins relatif et tout n'est pas absolu.

Tuesday, October 04, 2005

Blogues-tu, blogues-tu pas... ?


37°2 le matin, 38°2 le soir... Quelle idée de venir écrire à cette heure-ci sur le blog ? C'est vrai quoi, je pourrais faire grève moi aussi... Franchement j'aurais raison de rester bien au chaud sous la couette, à lire un bon livre dans mon lit (et pas un de la liste de livres recommandés par la fac) plutôt que de venir ici relater quelques faits marquants de ma vie marditale (du mardi quoi, zut)...

C'est à croire que la lecture Harry Pottercienne en Français dans le texte en pleine ballade en voiture est très fortement déconseillée car nuisible ! Honnêtement on ne peut pas le nier : été 2003, je traduis Harry Potter 5 à ma famille en plein retour de vacances (le moment où Cho retrouve Harry dans la volière) et pan, la tuture nous pète une bonne grosse durite.

Résultat : voyage en dépanneuse de Colombey-Les deux Eglises à Nancy. Hier, même dérapage ironique du sort, mon frère nous narre l'arrivée de Fudge chez les Premier Ministre moldu et vlam, me vla partie pour traîner mes 38°2 de fièvre (et j'insiste douloureusement sur le "2") de 22h30 (heure à laquelle j'ai eu fini d'écouter ma voix transalpine préférée) à midi moins cinq (j'insiste sur le "moins cinq"), heure où mon sommeil fut rompu par la douceur matinale (et surtout par les gémissements de mon ventre qui réclamait sa portion de nourriture ptit déjeunale très légèrement en retard d'au moins deux heures sur sa norme).

Oui... Attention ; à midi le calvaire a continué : mon père partant à la manifestation (ça c'est un plus pour les oreilles, un moins pour la compagnie humaine vu que là y a vraiment plus que la chatte sauvage qui se fasse entendre) et ma mère se reposant aussi. Bref j'ai été obligée et contrainte de regarder la quadripède se délecter du reste de spaghetti bolo devant mon nez et mes yeux quasi affamés... Ca c'est pas très drôle... Même si j'avoue qu'il y a une part de comique dans tout ça, car mon appétit indiminuable et encore indiminué devant n'importe quelle pasta m'a amené hier à "jouer" au tennis à la plus que n'imp-où est passé mon coup droit-mon ami si tu voyais ce qu'est devenu mon revers-si le prof ne me reprenait pas je serais morte de rire ! Voilà voilà par je ne sais quel miracle mon revers est revenu à 10 minutes de la fin du cours et mon coup droit à 5 minutes (sucres lents les pâtes, même légèrement plus bonnes c'est quand même sympathique comme effet inattendu lol !) devant les regards approbateurs du prof et des Séniors (les plus de 25 ans, ndrl, ils sont pas encore croulants qu'on se le dise) qui voulaient vraiment le terrain à l'heure (ndrl : 19h tapantes).

Voilà, je suis dubitative sur la cause de mon mal passager (mal de gorge, tête et est-il besoin de le rappeler : fièvre) : pâtes, tennis ou fête des pains ? Je sais pas mais bon au moins je suis sûre d'avoir dormi mon quota d'heures !! Nah. Pis d'ailleurs si vous comprenez pas pourquoi j'ai bien dormi comme une souche hier, essayez vous-mêmes le remède miracle qui répond à l'équation démente : lait chaud+Rhum blanc+miel=nuit bien paisible !! Non mais ! Ajoutez à cette recette (nettement moins bonne que les soupes de Nini mais aussi efficace si je ne m'abuse) un oropivalone gentiment donné par un frère en forme ainsi qu'un doliprane 500 et vous voilà aux pays des songes. Pas besoin de Mononoké pour y atterrir, je vous le dis ! N'empêche ça me laisse songeuse... Mais ça va déjà mieux : demain vous aurez tous droit à des bisous !! Hé hé hé ! ;p Vive les coups de froid et coucou à Marie qui m'a envoyé un message perdu de Stirling, see you bientôt j'espère ! Si ma cousine voyait cette photo (là on dirait sa tête à elle sur la photo, nah), elle dirait incontestablement que la cause de mon mal c'est le vin ou même l'Irish Coffee : méchante fille, c'est même pas le cas !! Rha nananananèreux ! ;) :p =) Les cousins, parfois, ils sont farceurs... :)

Ps : bientôt un post sur les "quatre mousquetaires gastronomes"... avis aux amateurs de bonne bouffe. (Ca vous intrigue hein ? Mdr)

Ciao !!